Dieu considéra
tout ce qu’il avait créé, et trouva cela très bon. Il y eut un soir, puis un
matin : ce fut le sixième jour.
Genèse 1.31
N
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ous
vivons dans une société où certains se tuent à la tâche pour survivre pendant
que d’autres profitent de toute sorte de richesses, indifférents à la douleur
et à la rébellion qui font rage dans le cœur des plus démunis.
Dans
quel monde vit-on ? Un guérillero a dit un jour qu’il tuerait des
innocents jusqu’à ce que Dieu lui explique les injustices de ce monde. Pourtant
Dieu n’a rien à voir avec les injustices que lui-même faisait subir aux autres.
Dieu
créa un monde « très bon ». Alors que s’est-il passé ?
Une
parabole de Jésus raconte l’histoire d’un fermier qui avait semé du blé.
Pendant la nuit, un ennemi vint dans le champ et planta de mauvaises herbes.
Les ouvriers voulurent les arracher mais le fermier répondit : « non,
laisser pousser les deux ensemble jusqu’au jour de la moisson ».
Dieu
créa un monde parfait mais l’ennemi vint et planta des graines de douleur, de
violence et d’injustice. Mais le jour de la moisson approche et les mauvaises
herbes seront détruites. En attendant, Dieu permet que le blé et les mauvaises
herbes croissent ensemble.
C’est
la réalité décrite par la parole de Dieu. Ne pas l’accepter suscite des
sentiments de rébellion et d’amertume, et la réalité ne change pas.
Alors
soyons certains que « Dieu vit alors tout ce qu’il avait créé, et trouva
cela très bon. Il y eut un soir, puis un matin : ce fut le sixième jour. »
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